Crédit photo: DEA.gov

La santé publique de la région de Québec met en garde la population d'une nouvelle drogue qui circule et elle s'avère très dangereuse!

Publié le 12 février 2024 à 13h57
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Comme vous le savez, il peut être extrêmement dangereux de consommer du fentanyl.

Il n'est pas rare de lire une nouvelle concernant des gens qui en sont malheureusement décédés et il s'avère qu'il y a une nouvelle drogue en circulation et il faut grandement se méfier, particulièrement si vous résidez dans la région de Québec.

Comme le rapportent les journalistes Jérémie Camirand et Raphaël Beaumont-Drouin de Radio-Canada, la santé publique de la région de la Vieille Capitale sonne l'alarme concernant la circulation d'une nouvelle drogue extrêmement dangereuse, surnommée « oxycodone de rue ».

Ces comprimés, de couleur verdâtre et marqués « 80/OP », sont conçus pour imiter « l'OxyContin », mais ils contiennent de la protonitazèpyne, un opioïde de synthèse qui se révèle être 25 fois plus puissant que le fentanyl, posant ainsi un risque de surdose mortelle.


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Pour Anne-Frédérique Lambert-Slythe, médecin-conseil à la direction de santé publique du CIUSSS de la Capitale-Nationale, elle n'a pas hésité à démontrer la gravité de la situation.

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« Cette drogue est super dangereuse.

Si les personnes consomment cette drogue, il y a un risque très élevé de surdose. »

La protonitazèpyne, identifiée pour la première fois aux environs de Montréal au début de l'année 2024, a récemment fait son apparition à Québec et disons que la situation est devenue alarmante puisque certains consommateurs, ignorant souvent le véritable danger de ces comprimés achetés sur le marché noir, sont exposés à un danger accru de surdose.

Les effets de la protonitazèpyne peuvent varier entre l'euphorie, la confusion, les étourdissements, la somnolence, ainsi que des nausées et vomissements.

Selon ce que rapporte le CIUSSS de la Capitale-Nationale, une surdose peut entraîner une respiration lente et faible, une perte de conscience, voire même la mort par dépression respiratoire.

Face à cette menace, les autorités sanitaires insistent sur la non-consommation de cette substance.

Vous pouvez consulter l'article de Radio-Canada dans son intégralité en cliquant sur le lien ci-dessous.

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